mardi 8 mai 2012

Cyclades 2012

L'arrivée sur la Caldéra








Un petit compte rendu de ces dix jours dans les Cyclades.

Sur le plan pratique :
Accès en avion jusqu'à Athènes, de là deux solutions :
   le ferry jusqu'à l'île choisie
   l'avion si l'île choisie a un aéroport.
On est en Europe et tout est simple, on paye en euro, les paiements et retrait d'argent avec la carte de crédit sont sans frais, pas de visa, la carte d'identité suffit.
La vie est chère comme en France, 20 € pour un resto, 35 € pour un hôtel simple. 2€ un café dont le prix grimpe si on le prend sur une terrasse qui donne sur la Caldéra de Santorin. Le prix des hôtels est sensiblement plus cher l'été. On loué un scooter 15€ la journée à Santorin, 10$ par jour sur l'autre île (Ios) où une voiture se louait à partir de 20 € la journée.
Début mai la température de l'air était parfaite, il fait bon, short et T-shirt toute la journée, un pull le soir. Température de l'eau 17°, dommage elle faisait envie !



Cérémonie orthodoxe à Ios

Chambres avec piscine particulière sur la Caldéra
En ce qui nous concerne nous avons opté pour le voyage facile, nous avions choisi Santorin et elle a un aéroport. Santorin est un phénomène topologique : au début une île comme toute les autres, plutôt montagneuse et il y a 2 ou 3000 ans méga irruption volcanique, tsunami qui a tout dévasté à plus de 500 km à la ronde, nuage de 65 kilomètres de haut etc ... à la fin il reste un croissant, coupé abrupte en son milieu, au centre une île, les reste du volcan sous la mer : la Caldéra. Ca donne un paysage à couper le souffle, des falaises aux abruptes vertigineux en haut desquels les grecques ont construits leur villages blanc au volets bleus mignons tout plein. On s'est trouvé un hôtel à Fira au centre de l'île, accueil chaleureux et gentillesse du personnel qui sera une constante tout au long de ces dix jours. On a commencé par 4 jours à Santorin en arpentant toute l'île sur notre scooter. Fira d'abord, perché sur la falaise, on trouve ensuite Firostéfani et Imerovigli deux petits villages encore plus haut perché avec beaucoup d'hôtels de luxe où le must est d'avoir son Jacuzzi privé sur la terrasse pour prendre son bain en admirant les paysages somptueux qu'offrent les falaises abruptes sur la Caldéra. Le lendemain Oya, la ville touristique type, dont les photos illustrent les pages de garde des catalogues touristiques des Cyclades. Inconvénient : Oya est une succession de boutiques, de restaurant, d'hôtel, bijouteries, galeries d'art, ... les ruelles envahies par les touristes, fortes proportion d'asiatiques. Mais bon pour la vue ça vaut le voyage ! Après nous sommes allés à Ios, beaucoup moins de monde, c'est l'île où les jeunes viennent faire la fête, nous étions au mois de mai ils n'était pas encore là. Grande ballade à scooter (50 cc que ça sur l'île pour préserver les jeunes !) dans les routes de montagnes sinueuses et magnifiques, plages tout aussi désertes, pas moyens de trouver un resto. On a bien aimé l'ambiance de l'île, les gens du coin qui vont à l'église et qui prennent l'apéro à l'ombre après.  On tombe sur pension tenue par une dame adorable que tout le monde rêverait d'avoir comme grand mère. Puis retour à Santorin pour les derniers coins de l'île non explorés.

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